divendres, 20 de novembre del 2009

Francès

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Appel international à dénoncer et ignorer la farce électorale au Honduras

Les organisations sociales, politiques et solidaires ainsi que les personnes à titre individuel, nous déclarons :


1. Le coup d'État au Honduras, avec la participation complice des États-Unis, et matérialisé par Michelleti et son régime , compte déjà avec 21 personnes assassinées, 4 mille 234 dénonciations de violation de la liberté, 7 attentats, 95 menaces de mort, 133 cas de tortures, 394 personnes avec lésions, 211 blessées à cause de la répression, 1.987 arrêts illégaux, 2 tentatives de séquestration et 114 prisonniers politiques accusés de sédition. Et chaque jour qui passe ces chiffres continuent d'augmenter

2. Les putschistes s'obstinent de rester au pouvoir en démontrant avec ce geste son mépris profond pour la démocratie et sa nulle reconnaissance du droit souverain des peuples exprimer à travers de la votation.
Le temps a démontré que tant les manoeuvres du gouvernement nord-américain, comme de l'OEA, soumise à ses intérêts, n'essayaient pas de défendre la démocratie mais simplement dilater, obstruer et finalement appuyer à ceux qui maintenant veulent développer une farce électorale.

3. Après le 30 octobre, les États-Unis ont cru opportun manoeuvrer et faciliter l'accord entre le Gouvernement présidé par Manuel Zelaya Rosales et les putschistes. L'accord dénommé Tegucigalpa/San José et qui amènerait à légitimer les élections du 29 novembre, chercher en même temps que le mouvement populaire ne puisse pas arriver avec des possibilités potentielles à la même.
Les putschistes ont fait faillir l'accord. Le président constitutionnel reste enfermé dans l'ambassade du Brésil,et la répression persiste. Avec une démonstration de cynisme sans limites, États-Unis se sont empressés de déclarer qu'ils allai reconnaitre les élections. Le Président Manuel Zelaya Rosales a dénoncé l'impunité totale avec laquelle partent les élections du 29 novembre. Le Front National de Résistance et d'autres forces démocratiques ont annoncé de la même manière, qu'il ne se présenteront pas aux urnes et appellent au boycott de la farce électorale.

4. Au service de l'oligarchie, l'impérialisme et les entreprises transnationales la majorité de médias considèrent déjà par la crise comme résolue et veulent légitimer les élections du 29 novembre 2009. Malgré cet effort coordonné et médiatique pour considérer la crise comme finie, la lutte du peuple hondurien continue et réitère ses demandes :

1. Restitution inconditionnelle du Président Manuel Zelaya Rosales à la présidence de la République du Honduras en restaurant la situation existante avant le 28 juin 2009

2. Refuser le processus électoral du 29 novembre 2009.

3. Après la rupture de l'ordre constitutionnel par la oligarchique, plus que jamais : Convocation de l'Assemblée Constituante.

4. Juger et je punir les putschistes et ses complices.

En nous joignant à ces demandes légitimes du peuple hondurien, nous demandons aux Gouvernements et les institutions internationales de ne pas reconnaître les élections du 29 novembre, de ne pas envoyer aucun type de commission ou mission d'observateurs internationaux et d' augmenter la pression politique, économique et financière contre la dictature civique - militaire imposée par l'oligarchie et l'impérialisme, ainsi que d'ignorer les autorités bâtardes qui veulent se présenter comme représentants élus du peuple Hondurien.

Liberté pour le peuple du Honduras.

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